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SAINT SEVER sur ADOUR

Les Landes





ancienne vicomté de Tursan

antiguo vizcondado de Tursan



Saint Sever sur Adour











Saint Sever est une ancienne sénéchaussée indépendante, près de Mont de Marsan et du Tursan
Elle a été incluse par convenance dans le chapitre de l'ancienne vicomté du Tursan

Saint Sever est jumelé avec Puente la Reina (Haute-Navarre)




Saint Sever es una antigua senescalía independiente, vecina de Mont de Marsan y Tursan
Se ha incluído por conveniencia en el antiguo vizcondado de Tursan


 

abbaye de Saint Sever
couvent des Jacobins
église Sainte Eulalie
église d'Augreilh
église Saint Jean de Péré

 

 

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abbaye de Saint Sever
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever
Les Landes

 

abbaye de Saint Sever



L'Abbaye Saint Sever fut une des nombreuses seigneuries landaises qui apparurent en Gasgogne à l'extrême fin du Xème siècle. Saint Sever avait pour voisines les vicomtés de Marsan et de Miremont en Tursan. Dans la vicomté de Marsan se trouvaient quelques enclaves relevant de la Sénéchaussée de Saint Sever. Les images de Saint Sever ont été groupées dans cet Atlas Culturel, par convenance de présentation, avec celles de la vicomté de Tursan.

 

 

Au Vème siècle, Severus (le futur Saint Sever) est envoyé par le Pape pour évangéliser la Novempopulanie. Il est martyrisé et décapité par la Vandales et, au VIIIème siècle. Les bénédictins édifièrent une chapelle pour recueillir sa dépouille. La fondation d’une abbaye, non loin du site antique de Morlanne, qui domine la vallée de l’Adour, est à la fois un acte politique et religieux qui permet aux comtes de Gascogne de mieux asseoir leur autorité.

L'abbaye bénédictine de Saint Sever fut fondée en 988 par Guillaume I Sanche et Urraca de Navarre, ducs de Gascogne (+997 et 1041 respectivement) sur le tombeau de Severus, évangélisateur et martyr. Grégoire de Montaner, moine de Cluny qui règne sur l’abbaye de 1028 à 1072, en fait un puissant foyer artistique regroupant les plus talentueux sculpteurs et enlumineurs, parmi lesquels Stephanus Garsia, l’auteur des miniatures du Beatus.

La renaissance gasconne du XIème siècle, qui fait suite aux invasions barbares, tient pour une bonne part à la multiplication des monastères. On leur doit le défrichement des terres vacantes et des forêts et le regroupement des paysans autour des abbayes et prieurés. Parallèlement, évêques et abbés s’emploient à reconstruire les villes ruinées par les Vikings.

Dans tous les domaines, qu’ils soient religieux, administratif, social, économique et culturel, la Gascogne connaît un renouveau grâce à l’abbaye qui s’impose à toute la province comme une véritable puissance foncière. À son apogée, dès la fin du XIème siècle, un vaste domaine entoure le monastère qui possède également dans le diocèse d’Aire-sur-Adour de nombreuses villae de l’époque romaine, terres et églises, dans un rayon de 35 km. Hors de ce diocèse, le monastère acquiert des domaines en Agenais, Bazadais et Pays de Born (Prieuré de Mimizan). Au-delà, Saint-Sever détient une église en Navarre près de Pampelune, ainsi que des biens en Gironde, dont l’église de Soulac-sur-Mer. En Gascogne, la plupart des possessions de Saint-Sever correspondent à une situation stratégique de l’époque : site défensif, zone de passage sur la Garonne ou l’Adour, axe de circulation. Distantes d’au maximum une trentaine de kilomètres l’un de l’autre, ces possessions constituent pour les pèlerins des jalons et gîtes d’étape. Dans le choix des acquisitions, on tient également compte de la fertilité des terrains. La vallée de l’Adour, les côtes de Buzet, les possessions en Armagnac, les vignes en Bordelais dévoilent des centres d’intérêt et les préoccupations économiques des moines qui plantent des vignes non loin des monastères.

À la suite d'un incendie en 1060, elle fut reconstruite sur le modèle de Cluny. Elle a été achevée vers 1120 puis connait un rayonnement qui s'étendait de l'Aquitaine au coeur de l'Espagne. Les nombreux sièges, entre les XIIIème et XVème siècles, puis un tremblement de terre en 1372 la détruisirent partiemment. Le déclin s’amorce avec la guerre de Cent Ans et se précipite avec les guerres de Religion du XVIème siècle. Elle fut restaurée, une deuxième fois, au XVème siècle et, en 1569, les huguenots de Montgomery la détruisirent à nouveau. Les protestants rasent les bâtiments conventuels. Ce n'est qu'au XVIIe siècle que la congrégation de Saint Maur entreprit une nouvelle restauration qui sera achevée au siècle suivant.

 

plan de l'abbaye

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périodes de construction et de restaurations

 

Avec la Révolution française, les moines sont chassés. La révolution décida la désaffectation de l'abbatiale et les bâtiments conventuels de l'abbaye furent attribués et vendus. L’église est par la suite rendue au culte en 1795 mais les bâtiments monastiques sont occupés par la mairie et diverses administrations. L'abbatiale est un exceptionnel témoignage historique, architectural et artistique malgré la restauration douteuse des architectes du XIXème siècle.

L'église au plan bénédictin à 7 absides échelonnées, s'élève au coeur de la ville, sur la place du Tour du sol. Ce monument exceptionnel en Aquitaine abrite 150 chapiteaux dont 77 d'époque romane. Classée monument historique depuis 1911, l'abbaye est également inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des chemins de St Jacques de Compostelle depuis 1998.

 

 


tour carrée
et dôme de l'abside


tour carrée
abside et absidioles semi-circulaires

abside, dôme et sommet
du dôme

 

 



abside

dôme
de l'abside

sommet du dome
XVIIIe

 

 

L’abbatiale de style roman est étonnamment vaste. Elle présente un chœur à six absidioles de profondeur décroissante, suivant un plan bénédictin. Les colonnes de marbre du chœur et du transept proviennent du palais des gouverneurs romains de Morlanne, situé non loin de là. Les chapiteaux polychromes à décor de lions datant du XIème siècle sont remarquables. On en dénombre 150 dont 77 authentifiés comme étant gallo-romains et romans.

corniche d'une absidiole avec des modillons

les modillons

 


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le portail et les chapiteaux

 

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On accède par les tribunes du transept à des chapelles d’étage. Le transept et les bas-côtés permettaient d’accueillir une foule importante de fidèles et de pèlerins attirés par cette étape de la voie limousine (via Lemovicensis) vers Saint Jacques de Compostelle.

 

vue de la nef depuis l'entrée ouest

baldaquin du maître-autel

archange Saint Michel

tribune du transept nord

 

les chapelles

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les chapiteux


OO

 


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chapiteau
gallo-romain


Daniel dans la fosse
tient les lions par la langue



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personnages grimpant
dans un arbre


chapiteau
support de toiture




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le martyr de St. Jean Baptiste Salome
et la danse des sept voiles




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le repas d'Hérode; Salomé
et la danse des sept voiles


le bourreau tranche
la tête de Saint Jean


la tête de Sain Jean
dans un panier

 

 

Vous pouvez admirer l'intérieur de l'abbatiale en pénétrant par la porte du clocher pour vous plonger directement dans le choeur roman à 7 absides échelonnées donnant sur un vaste transept. En levant les yeux, vous serez surpris par les tribunes de transept et les chapelles hautes. 77 chapiteaux romans ponctuent la promenade. Un orgue Cavaillé-Coll dans un buffet de 1711, décore le revers de la façade ouest. En remontant du côté sud, vous sortirez par la porte saint Joseph amenant dans le cloître XVIIIème. La salle capitulaire dans l'aile est présente le trésor de l'abbaye. En sortant du cloître par l'ancienne cuisine, vous longerez une aile supplémentaire pour rejoindre le magnifique chevet. L'abbaye romane demeure encore aujourd'hui un formidable témoignage historique et architectural du rayonnement de Saint-Sever.

le cloître

 

 

 


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galerie

 



galerie

 

 


ancienne cuisine
et le puir

le cloître

 



voûtes en croisée d'ogives
des galeries

 

 

rliquaire de Saint Sever
XVIIIème siécle

 

Le reliquaire de Saint-Sever. L’abbaye de Saint-Sever possédait au Moyen Âge de nombreuses reliques dont la plus célèbre était le chef (autrement dit la tête, le crâne) de Saint Sever. Cette dernière fut détruite lors des guerres de religion qui firent des ravages dans la région. Aussi, après avoir patiemment reconstruit le sanctuaire vandalisé en 1569 (l’autel fut restauré en 1681), les moines se préoccupèrent de trouver une relique insigne.

L’église Sainte Eulalie de Bordeaux possédant, selon une tradition immémoriale, les restes de Saint Clair et de ses compagnons (dont Saint Sever), une ambassade obtint de l’archevêque la permission de retirer du reliquaire bordelais une partie des reliques de Saint Sever en 1714. Le retour officiel eut lieu en 1716, en grandes pompes. Le reliquaire actuel date de 1783 et a été offert par monseigneur Playcard de Raygecourt, évêque d’Aire-sur-l'Adour. Ce reliquaire est le témoignage de la volonté de l’évêque de rester fidèle au goût baroque français, en opposition au goût néo-classique.

 

orgue Cavaillé-Coll

 


L'Abbatial est monument historique et classé patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle en France depuis 1998.

 

Le Beatus de Saint-Sever

La Bibliothèque nationale de Paris conserve un précieux manuscrit enluminé que l’on désigne du nom de « Beatus de Saint-Sever ». Il s’agit d’un Commentaire de l’Apocalypse de saint Jean, écrit et illustré au XIème siècle dans l’abbaye de Saint-Sever en Gascogne, mais dont le texte a été rédigé en Espagne au VIIIème siècle, et qui a fait par la suite l’objet de nombreuses copies, dont 26 sont encore conservées ou rappelées par de simples fragments dispersés à travers le monde.

 


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


apocalypse
de Jean


livre de
Daniel


énéalogie du Christ
ancêtres d'Abraham


généalogie du Christ
Isaac et Jacob


généalogie du Christ
le sacrifice d'Abraham et Sarah


généalogie du Christ
l'annonce aux bergers


les quatre évangélistes
Jean et son aigle


les quatre évangélistes
Luc et le taureau


apocalypse
de Jean


les quatre évangélistes
Mathieu sous l'ange


les quatre évangélistes
Marc et son lion

 

Sous l'abbatiat de Grégoire de Montaner (1028-1072), Stephanus Garsia, dirigeant d'un scriptorium, réalisa le Beatus ou Apocalypse de Saint-Sever, manuscrit conservé sous le numéro 8878 de la Bibliothèque Nationale de France. Cette œuvre est une transcription de l'apocalypse de Jean commentée vers 786, dans les Asturies, par Beatus, moine de Liébana. Il nous reste aujourd'hui vingt quatre Beatus, dont la plupart viennent du nord de L'Espagne. D'où l'intérêt exceptionnel de celui de Saint-Sever, seul Beatus français.

Réalisé environ cinquante ans après la fondation de l'Abbaye, au milieu du XIe siècle, le Beatus de Saint-Sever témoigne du haut degré de perfection, de maîtrise et de savoir-faire qu'avait atteint l'atelier du Cap de Gascogne. Il nous montre aussi que, dès le début du second millénaire, Saint-Sever était un foyer de concentration culturelle : ces hommes, en effet, connaissaient les cultures africaines (Copte en particulier), Islamiques, orientales, irlandaise... . Le Beatus de Saint-Sever est aussi le révélateur d'une société et de son temps, à travers ses armes ou scènes amusantes. Il est enfin un immense livre de poésie.

 


vision prophétique,
7ème révélation,
acclamation de l'Agneau


vision prophétique,
6ème révélation, les quatre
cavaliers de l'Apocalypse


livre de Daniel,
Daniel languissant et malade,
avec ange Gabriel


vision prophétique,
7ème révélation,
acclamation de Dieu


livre de Daniel,
sommeil agité
du roi Darius


livre de Daniel,
vision de
Daniel à Babylone


vision prophétique,
9ème révélation,
ange de l'abime


livre de Daniel,
vision de Daniel
au bord du Tigres


livre de Daniel,
Daniel dans son
scriptorium


page-tapis
d'inspiration
irlandaise

 


livre de Daniel,
vision
de Daiel à Suze


livre de Daniel,
Daniel condamné à être
dévoré par les lions


visions prophétiques,
4ème révélation,
cadavres dans le déluge

 


vision prophétique,
16ème révélation,
les dix rois couronnés

 


vignette

décorative

 


livre de Daniel,
Nabucchodonosor
fait un songe

 

Le manuscrit traîte, dans l'ordre, des évangélistes, de la généalogie du Christ, de l'Apocalypse de Jean et du Livre de Daniel. Le document est aux armes des cardinaux de Sourdis, archevèques de Bordeaux au XVIe siècle ; un des deux frères l'emprunta, le sauvant ainsi du sac de l'abbaye de Saint-Sever par les troupes protestantes de Montgomery en 1569.

Le nom de « Beatus » désigne selon les cas un religieux espagnol du VIIIème siècle, et les manuscrits du Commentaire de l’Apocalypse dont la rédaction lui est habituellement attribuée.

Beaucoup d’incertitudes demeurent sur le personnage, dont un biographe tardif a situé la mort en 798 : on sait qu’il a vécu dans le monastère asturien de Liébana, dont il semble avoir été l’abbé.

C’est dans cette perspective de défense de l’orthodoxie contre une hérésie très active, que Beatus a rédigé vers 776-786 le Commentaire qui porte aujourd’hui son nom. Il y manifeste une connaissance approfondie de nombreux Pères de l’Église, d’Irénée à Isidore de Séville, mais aussi de nombreux auteurs chrétiens - Cyrille, Origène… - ou païens - Quintilien, Virgile… De telles références ne sauraient surprendre dans le milieu culturel qui était parvenu à survivre dans le Royaume des Asturies, ultime héritier de l’Espagne wisigothique, sous le règne de quelques souverains dont le souvenir est rappelé par des édifices aussi remarquables que le palais de Naranco, ou les églises de Lena, Lillo, Santullano, Valdedios.

 

Saint-Sever es lugar de peregrinos. Por allí discurre la ruta jacobea que viene de Limoges, Vézelay y Troyes, poco antes de unirse con otras rutas en Ostabat. Se encuentra en las Landas, orilla derecha del río Adour.

Fue sede de los duques de Gascuña .

Según la leyenda en el siglo V se levantó una iglesia martirial en el lugar de la sepultura de Severus, instalándose allí los monjes benedictinos en el siglo VII.

La actual Abadía fue fundada el año 988 por los duques de Gascuña Guillaume I y Urraca de Navarra. Tras el incendio que sufrió hacia el año 1065 el abad Gregorio reconstruyó la iglesia según un plan benedictimo de siete ábsides escalonados. Otros trabajos siguieron en el siglo XII y existen importantes restauraciones de los siglos XIV y XV tras la guerra de los Cien Años.

Sufrió importantes destrucciones en el año 1569 durante las guerras de religión. La revolución de finales del siglo XVIII expulsó a los monjes y la iglesia fue convertida a culto parroquial.

En tiempo del abad Gregorio de Montaner (1028- 1072), un miembro del “scriptorio” llamado Stephanus Garsia llevó a cabo el “Beatus” o Apocalipsis de Saint-Sever, un extraordinario manuscrito conservado en la Biblioteca de París.

Se trata de una transcripción del Apocalipsis de San Juan comentado hacia el año 786 en Asturias por el Beato de Liébana. Se trata del único “Beatus” francés, todos los demás (27) son españoles.

Se realizó unos 50 años después de la fundación del monasterio, a mediados del siglo XI.

Es una muestra del intenso ambiente cultural que rodeaba la corte de los duques de Gascuña en donde había hombres que conocían las culturas africanas, copta en particular, islámicas orientales, irlandesa, etc.


couvent des Jacobins
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever
Les Landes

mur-pignon en façade principale et flanc nord de la nef

 

plan du couvent

 

 


clocher
gothique

dépendances
du couvent


clocher
gothique

 

 

porte en arc surbaissé segmentaire
sous un arc ébrassé gothique

ancienne entrée du couvent
XVIIème siècle

chapiteaux
du portail gothique

 



intérieur

 


Le couvent de Jacobins (Dominicains) a été fondé en 1280 par Eléonore de Castille, fille de Fernando III "el Santo" et épouse d'Edouard 1er, roi d'Angleterre et duc d'Aquitaine (1239-1272-1307).

L'église, la salle capitulaire et le réfectoire sont gothiques. L'église à nef unique et chevet plat était éclairée de grandes baies et d'une rose occidentale, et couverte d'une charpente en berceau brisé de bois de chêne toujours visible. Le réfectoire est décoré d'une fresque de 1335 représentant saint Dominique et le Cardinal Godin. Les vestiges de l'ancienne chaire du lecteur sont de 1305.

 

fresque salle capitulaire
XIVème siècle


Les Huguenots détruisirent en 1569 une partie du couvent qui fut rétabli grâce à l'aide du Père Antonin Cloche, Saint-Severin devenu maître général de l'ordre dominicain en 1686.

Le cloître et les ailes sud et ouest des bâtiments conventuels furent restaurés en briques et pierres. L'aile nord, contre l'église était surmontée d'une galerie ouverte par des arcades en plein cintre.

 

le cloître

 

 



cloître


galerie
du cloître


clé d'arcade du cloître
chien de Saint Dominique

 

 


clé d'arcade
du cloître


clé d'arcade
du cloître


clé d'arcade
du cloître

 

 


clé d'arcade
du cloître


clé d'arcade
du cloître


clé d'arcade
du cloître

 

 

Après la Révolution, le couvent servit d'école centrale du Département jusqu'en 1867, de collège municipal jusqu'en 1896, d'école d'agriculture jusqu'en 1970.

 



convento de los Jacobinos



Convento fundado el año 1280 por Leonor de Castilla, hija de Fernando III el Santo y esposa del rey Eduardo I de Inglaterra, duque de Aquitania (1239-1272-1307) 

Quedó destruido durante las guerras de religión del siglo XVI siendo reconstruido en el siglo XVII.

Actualmente acoge el Centro Arqueológico de las Landas.

 


église Sainte Eulalie
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever
Les Landes

 

église Sainte Eulalie

 

église d'Augreilh
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever
Les Landes

 

égliseSaint Jean de Péré
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever
Les Landes

 

château du Général Lamarque
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever

Les Landes

 


château du Général Lamarque

 

statue du Général Lamarque
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever

Les Landes

 

Général Lamarque
Belvédère de Morlanne

 

Comte Jean-Maximien Lamarque (1770-1832)

Naissance le 22 Juillet 1770 à Saint-Sever - Décès le 1er Juin 1832 à Paris.

 

Comte Jean-Maximien LAMARQUE

 

Il reçu, en février 1801, les épaulettes de général de brigade des mains de Bonaparte. Se battant pour Bonaparte, Maximien Lamarque se couvrit de gloire à plusieurs reprises. Exilé après la Seconde Restauration, il fut, dix ans après, élu député de Mont-de-Marsan. Lamarque est décédé du choléra le 1er juin 1832.

 

villa gallo-romaine d'Augreilh
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever

Les Landes

mosaïques de la villa gallo-romaine



Cette villa gallo-romaine du Bas-Empire est installée dans la plaine de l'Adour. Le site est occupé depuis le néolithique. La villa elle-même a été bâtie "ex nihilo" entre 350 et 380.

A partir du Vème siècle, un enclos paroissial paléochrétien, avec l'église Saint-Pé de Mazères et la nécropole environnante, s'est installé sur le site jusqu'au XIVème siècle. Après la disparition de la paroisse, le territoire est retourné à une vocation agricole. La villa a été fouillée au XIXème siècle, certaines mosaïques ont été mises à l'abri en les installant dans des maisons privées où elles sont toujours. La grande originalité de cette villa, aux thermes chauffés par hypocauste, est la présence d'un double péristyle.

 

les arènes de Morlanne
Saint Sever sur Adour
Sénéchaussée de Saint Sever

Les Landes

 

les arènes de Morlanne



Au XIXe siècle, les spectacles taurins se fixent aux arènes de Morlanne. À partir de 1861, Saint-Sever découvre la tauromachie espagnole ou provençale avec des spectacles mixtes hispano-landais ou bien provenço-landais.

En 1932, les actuelles arènes de Morlanne sont inaugurées. Elles sont à la fois adaptées aux courses landaises et aux corridas.