catedral

NÔTRE DAME

 de Bayona

texte en français

Se trata de una de las pocas catedrales del sur de Francia que se inspira en el gótico del norte de Francia.

Fue construida desde mediados del siglo XIII hasta principios del siglo XVI. Anteriormente existió una catedral de estilo románico que fue destruida en dos incendios sucesivos de los años 1258 y 1310. Durante ese período reinó en Navarra la Casa de Champagne y pudo haber sido la reina de Navarra y de Francia, Juana I de Navarra, - la última representante de la Casa de Champagne - la que hubiera influído en la diócesis en la preparación del proyecto de construcción de la nueva catedral gótica. El estilo gótico florido de la catedral con fuerte inspiración de las iglesias del condado de Champagne (especialmente en el ábside) pudiera avalar esta hipótesis.

Bayona había estado durante tres siglos bajo el dominio inglés de los duques de Aquitania, quedando en campo francés desde la victoria de 1451.

El primer obispo instalado en Bayona fue San León en el siglo IX.

 























Bayona está construida junto al encuentro de los ríos Nive y Adour, poco antes de la desembocadura en el mar. Existen indicios de ocupación romana desde comienzos del siglo IV. Todavía en la actualidad existen dos torres romanas, la torre de los Agustinos y la de las Dos Hermanas. Se tienen pocas noticias hasta el siglo X, aparte de las invasiones normandas.

Hacia el año 1023, el rey de Navarra Sancho III el Mayor crea el vizcondado de Labour, de acuerdo con sus aliados y parientes los duques de Gascuña y en su reinado se encuentran las iniciativas gasconas para irradiar importancia su diócesis. En esta época, la ciudad se extiende también por la orilla izquierda del río Nive y se construyen dos puentes. Aparece entonces por primera vez el nombre de Bayona cuyo origen puede ser latino "Baia" ("gran extensión de agua") o vascuence de origen latino "ibaiona" ("buen río").

A partir del compromiso de casamiento de la infanta Berenguela con el rey de Inglaterra y duque de Aquitania, Ricardo Corazón de León a finales del siglo XII, y muy especialmente durante el reinado de Sancho VII el Fuerte, numerosos señores de la región, desde el mar hasta Bearn, rinden vasallaje al rey de Navarra. Lo cual sería un objetivo buscado para obtener acceso al mar por Bayona - a través de ríos afluentes del Adour - una vez que San Sebastián había pasado a dominio castellano el año 1200.

 

claustro gótico medieval del siglo XIV previamente
existió un claustro románico que se documenta
en el año 1059 arcadas y bóvedas del siglo XIII
sirvió de cementerio hasta la revolución del siglo XIX 

château vieux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

claves de bóveda de la catedral de Bayona

bellísima clave de bóveda con una embarcación bajo la protección de los cuatro evangelistas.
testimonia la prosperidad de los astilleros de Bayona

 

 

 

 

 

armas de Edward III de Inglaterra
hijo de Isabelle de Francia

tres leopardos
signo de la
dominación Plantagenêt

armas de la ciudad
de Bayona
(1351)

el castillo está flanqueado
por dos leopardos, signo
de la dominación inglesa
Plantagenêt del ducado
de Gascuña y Aquitania
bajo la cual fue construIda
la catedral 

l

















La cathédrale Sainte-Marie est située au sommet de la butte qui domine l’Adour et la Nive au cœur de la vieille ville. Edifice érigé aux 13e (abside, chapelles rayonnantes, déambulatoire), 14e (nef et transept), et 15e siècles (façade occidentale), dévasté en 1793. Elle appartient au style gothique rayonnant avec une influence champenoise surtout dans l’abside et le déambulatoire. La construction de l’édifice actuel a été commencée vers le milieu du XIIIème et s’est achevée au début du XVIème siècle. Une cathédrale romane primitive fut détruite par deux incendies successifs en 1258 et 1310. Un cloître est attesté en 1059. Le cloître actuel remplaça au XIVème siècle un cloître roman

De 1834 à 1845, l' architecte Manchoulas restaure les contreforts des arcs-boutants et des chapelles du rond-point. De 1845 à 1849, l' architecte bayonnais Hippolyte Guichenné est en charge des travaux de la cathédrale : il supprime la décoration du 18e siècle des chapelles absidiales et reconstruit partiellement le bras nord du transept (piliers du porche, balustrade, fenestrage de la verrière, contreforts et arcs-boutants). En 1846, l' abbé Laran lance le projet d' une vaste restauration. De 1851 à 1903, restauration et transformation partielle de l' édifice sur les plans de l' architecte diocésain Emile Boeswillwald. En 1852, projet de réfection de la façade sud du croisillon sud du transept. En 1854, début de la rénovation du choeur par Emile Boeswillwald. En 1855, le Comité des inspecteurs généraux approuve le projet d' installation d' une sacristie et d' une chapelle paroissiale dans le bras sud du cloître, présenté par Boeswillwald. De 1856 à 1863, réfection de la façade sud du bras sud du transept, avec mise en place d' un remplage dans le style du 14e siècle ; de 1866 à 1873, travaux de même nature sur la façade nord du bras nord du transept. De 1873 à 1878, érection des deux tours de façade et de leurs flèches : la tour nord dans le style normand des 13e et 14e siècles, celle du sud dans le style gothique du 15e siècle. De 1873 à 1896, réalisation des peintures murales des 6 chapelles absidiales par le peintre Louis Steinheil assisté de son fils Adolphe. De 1895 à 1899, le sculpteur bordelais Mora exécute le groupe de la Vierge destiné à la tour sud. En 1911, restauration du porche nord. De 1923 à 1929, réfection de la façade occidentale et mise en place de la Piétà du sculpteur Braemer. En 1928, fourniture de la grande rose occidentale par Paul Louzier fils.

Après trois siècles de domination anglaise, Bayonne fut reprise en 1451 et réintégrée au domaine royale du roi de France. La décoration porte la trace de ces événements : les lys de France succèdent aux léopards d’Angleterre.

Le cloître est l'un des plus grands de France. Il est de style gothique flamboyant et date du XIVe siècle. C’est un cloître qui dessine un rectangle un peu irrégulier. « Avec ses belles arcades éclairées de doubles baies géminées et de trois rosaces très simples », il présente une série de tombeaux qui rappellent sa vocation de cimetière.

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