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RÉBÉNACQ



vallée d'Ossau
Béarn



vallée d'Ossau

 









 


église Saint Jean-Baptiste
Rébénacq
vallé d'Ossau
Bearn

 

église Saint Jean Baptiste
clocher-porche surmonté d'un toit à l'impériale et flanc sud de la nef


La première église est incendiée en 1755 et aussitôt reconstruite. En 1869, travaux exécutés sur devis de Jean Sacaze, de Louvie-Juzon : importante réparation, exhaussement du clocher de 3 mètres (sur les conseils de l' architecte départemental Gustave Lévy).

 

 

clocher-tour et
élévation latéral flanc sud


vue depuis le
château de Bitaubé

clocher-porche
à l'impériale

 

 


tour impériale et
arcs-boutants

abside
polygonale

abside polygonale
aves des contreforts

 

 

 

clocher-porche
porte en arc en plein cintre

 

 

 



arcs-boutants

abside
et flanc sud de la nef

élévation latérale
flanc sud

 

 

En 1874, le conseil de fabrique délibère la reconstruction et l' agrandissement de l' église. Vers 1875, le curé Lascatalines et la fabrique font construire l' église à leurs frais, avec l' aide des paroissiens, "sans architecte ni entrepreneur": les plans furent rédigés par le curé.

Les verrières sont fournies en 1877 par Jules-Pierre Mauméjean, de Pau. En 1891, consécration par Mgr Jauffret. Vers 1894-1899, construction du porche et réalisation de peintures murales dans l' abside par le Palois Joseph Castaing, ensemble complété au XXème siècle par Mlle G. Rives. Fourniture, entre 1877 et 1879, de verrières par Jules-Pierre Mauméjean, maître-verrier à Pau.

* clocher-porche, nef de 4 travées à arcades en plein cintre
* décor: peinture; vitrail
* couverture: flèche polygonale; toit à longs pans; croupe polygonale; appentis

château de Bitaubé
Rébénacq
vallée d'Ossau
Bearn

 

château de Bitaubé



Le château de Bitaubé doit son nom à une famille béarnaise, originaire de Gan, dont l'un des membres, Jean-Baptiste, expatrié comme beaucoup de cadets, revint d'Espagne en 1775, fortune faite, pour s'établir au pays. Ce personnage ayant fait construire l'édifice dès son retour, les travaux ont dû se dérouler vers 1775-1780. Les descendants de Jean-Baptiste en furent propriétaires juqu'en 1875.

Le château, juché sur un épaulement dominant le bourg de Rébénacq, est bien représentatif de ces grosses demeures béarnaises, très sobres extérieurement, mais non dépourvues d'un souci de qualité au niveau du décor extérieur. Le corps de logis encadré de pavillons comporte quatre niveaux : soubassement, rez-de-chaussée, premier étage, étage de comble.

L'essentiel du décor conservé se retrouve au rez-de-chaussée : salon et salles-à-manger, avec lambris, stucs, cheminées, fontaine. Le décor des autres pièces, de même qu'aux étages, concerne essentiellement les cheminées. A noter, également, la rampe d'escalier. Deux anciennes écuries encadrent la façade Ouest et délimitent une cour, prolongée par un ancien jardin d'agrément clos de murs. L'escalier d'accès au jardin est orné d'une clef de voûte de provenance inconnue. La façade Est est bordée d'une grande terrasse dominant l'emplacement d'un second jardin d'agrément probablement plus récent.